« L’ancre des mots » Jéhan Leprêtre et Laurent Bonin
Bienvenue à bord de leur voilier.
Franchissez le pas qui vous retient à la terre ferme. Laissez-vous bercer par les notes de Laurent, Jéhan hisse la voile et vous fait naviguer sur un océan de mots. Vous accosterez d’île en île, d’histoire en histoire et vous trouverez certainement une part de vous dans ce voyage. Laurent sème ses mélodies, Jéhan ses poèmes et pose son ancre sur les mots de la vie.
Tous deux rendent hommage à ce qu’elle leur offre et, le cœur et les bras grands ouverts, nous l’offrent en retour.
Tu as toujours rêvé de tourner caméra à la main et de monter ton propre film ?
> Ce stage a pour but de découvrir et d’approfondir les techniques de prise de vue et de montage vidéo.
> Écriture de scénario et réalisation de films courts avec du matériel professionnel (images et sons).
> Montage numérique avec Adobe Première.
> Présentation des réalisations sur grand écran, le samedi en fin de journée.
C’est deux imbéciles ils sont sales ils n’ont rien ils regardent passer le monde avec leurs yeux de traviole ils sont là incognito et comme vous aussi vous êtes là ils vont en profiter
ils vont s’amuser avec quelques vieilles boîtes quelques bouts de ficelle et quelques gamins si y’en a qui traînent
ronchons et rigolards idiots mais malins ils se moquent de l’autorité et des convenances et s’amusent à casser l’insupportable monotonie du monde
Yannick Brisset : Régisseur
Mathilde Lecornu : Costumes
Samuel Gardès, Romain Ozenne, Alice Wood : Mise en scène
Alice Wood, Romain Ozenne : Comédiens
Jerez-Texas, c’est bien sûr des musiciens virtuoses, c’est aussi la rencontre singulière entre la guitare flamenca (Ricardo Esteve), le violoncelle (Matthieu Saglio) et la batterie (Jesús Gimeno), ainsi que le point de fuite où se rejoignent plusieurs univers (flamenco, jazz, classique, musiques du monde…). On pourrait aussi décrire la musique de Jerez Texas par les mélodies entêtantes, l’énergie contagieuse et la finesse des arrangements. Mais plus que tout cela, un mot suffit à définir Jerez-Texas : le plaisir.
Plaisir échangé entre trois musiciens liés depuis 15 ans par une complicité sans faille. Plaisir partagé avec le public qui y trouve une porte ouverte sur le rêve, comme l’a prouvé l’enthousiasme suscité lors de chacune
des 500 dates dans 25 pays. Plus d’infos : http://www.jereztexas.com/index.php?lang=fr&Page=actu
La Méthode Fowley,
Constance Fowley est professeure de chant d’origine britannique. Guindée et excentrique, elle évoque Mary Poppins aussi bien que Tatie Danièle. Le public est sa chorale, le chant : sa mission. Jacques est l’assistant et le plus grand fan de Miss Fowley. De fil en aiguille, ils embarquent le public dans un cours de chant interactif et délirant, avec pour objectif d’atteindre l’harmonie collective. Une véritable chorale publique, une écriture ciselée, des personnages clownesques, des séquences de chant collectif, des exploits burlesques, des catastrophes hilarantes, le tout saupoudré d’une poignante humanité.
C’est la Méthode Fowley.
Pierre BONNAUD et Catherine MACE : composition et interprétation
Jean LUCAS : co-écriture, mise en scène
Les Comédiens
Après avoir travaillé en tant qu’animateur radio (Canal B, Rennes), Pierre Bonnaud co-fonde la Compagnie Qualité Street et crée « Les Champions du Bien » (2000) et « La Fleur au Fusil » (2004) totalisant 800 représentations en rue et salle. Il officie régulièrement lors de couvertures événementielles en tant que Mr Loyal, ou dans le cadre des Théâtre Miroir (interventions théâtrales d’échanges et de débats).
En 2008, il fonde en parallèle de ces activités la compagnie Bonobo Twist avec Florent Anger; ils créent le spectacle « Manu Nashville » en 2008 (mise en scène : Gwen Aduh), et « Presta » en 2016 (mise en scène : Stephane Filloque).
Entre 2002 et 2008, il fait partie de l’association Euphonie (musique à l’hôpital); il y rencontre Catherine Macé, ensemble ils créent le spectacle « les Escrogrifs », produit et diffusé par l’Armada Productions. Depuis 2017, il a rejoint le spectacle «Hop» de la compagnie Fracasse de 12. Catherine Macé est musicienne et auteure. Depuis les années 80, elle commence à se produire sur scène en tant que musicienne professionnelle. Son métier l’entraîne à Londres où elle vit pendant 7 ans avant de revenir en France avec son groupe Non Stop Cargo. En Bretagne, elle travaille en qualité de chef de choeur dans des chorales régionales et encadre des stages et master class autour de la voix.
Elle est impliquée dans des projets artistiques et associatifs locaux et régionaux, notamment l’association Euphonie (musique à l’hôpital).
Depuis une quinzaine d’années elle se forme au Tai Qi Chuan et développe une vraie passion pour cet art martial chinois.
Depuis 2015, elle travaille en tant que directrice artistique sur un projet de médiation par la culture « Les Arts se tissent ». En juin 2016, sera édité son premier roman jeunesse « Lisa et Nouh » chez Alice Editions.
La méthode Fowley : Mise en scène
Jean Lucas est le metteur en scène de ce nouveau spectacle.
Après des études aux Beaux-Arts, Jean Lucas a été l’un des fondateurs de «l’Institut Cie», dont les créations ont été jouées des centaines de fois, en France et dans le monde entier et couronnées par plusieurs prix.
Jean Lucas y incarne déjà le personnage de Wilson dont la presse dit «…et le tout est irrésistible car parmi eux, il y a un clown, un vrai, celui qui rate tout, qui se trouve toujours là où il ne faut pas et qui fait crouler la salle de rire.» (Le Quotidien de Paris).
A partir de 2001, il décide de se consacrer à un travail en solo autour de son personnage : c’est la naissance de la Compagnie Sterenn, à Nantes, et du solo clownesque Mr. Wilson. Il a été joué, entre autres en première partie de Buffo au théâtre du Ranelagh à Paris, dans la plupart des festivals de rue en France, mais aussi à l’Etranger, en Hollande, Espagne et Allemagne et, en 2009, en Australie, au festival d’Adelaïde. Et entre autres au printemps 2010, au festival «Namur en Mai» en Belgique.
Jean Lucas tourne également une création en duo avec Anthony Gorius, rencontre du Clown et de la Marionnette, «Little Big Men».
En parallèle, il a toujours été intéressé par la mise scène, en particulier dans le domaine qui lui est proche, le registre clownesque ou burlesque, il a notamment réalisé la mise en scène de «La Cuisine», un duo clownesque produit par la Cie «Maboul Distorsion», celle du dernier spectacle des «Bouskidou» chanson rock pour les enfants, et celle du spectacle « Hic » par le Bazar Maniaque (théâtre burlesque et musical).
Retour sur la journée du 30 septembre.
Une fantastique ouverture qui augure d’une fameuse saison !
Nous avons été comblés hier par le soleil, par la présence des amis de La Factorie -Maison de la Poésie en Normandie- par les artistes de Čao Laru, l’aperçu des artistes à venir et par la qualité des échanges durant toute cette journée.
Une ambiance et une énergie qui donnent du coeur à l’ouvrage, l’envie de nous revoir, de rêver ensemble,
et d’inventer le monde… Merci à tous, spectateurs, bénévoles, artistes…
A bientôt !
Bien amicalement, H.
PS Il est encore temps de prendre votre panier !
1er septembre 2018,
Repères… pour la saison 2018/2019.
Comment allez-vous pour cette nouvelle rentrée ?! Ilot fragile, frêle esquif sur une mer démontée ? Ou roc imprenable, navire insubmersible bravant la fureur
des flots ?!
La question se pose pour chacun en ces temps décisifs : où trouver nos alliés substantiels ? Dans les sciences, les croyances nouvelles ou anciennes, les idéologies de tous poils ? Chez les maîtres, les sauveurs providentiels ? Chez les sages qui s’avèrent souvent de véritables fous à l’usage ? Non ! Tous les mythes, toute la poésie, la littérature nous le répètent à l’infini : à l’intérieur de ce continent inexploré que nous sommes !
Ce n’est peut-être pas un hasard que l’autre nous soit si étranger, quand nous le sommes tant à nous-mêmes. Notre course effrénée à la consommation n’est-elle pas aussi l’aveu implicite de cette désertion ? Le signal que nous envoie notre chère terre-mère qui n’en peut plus de nos avidités morbides ne nous invite-t-il pas à miser plus que sur une « nouvelle croissance verte », sur l’émergence de nos profondeurs ? Notre véritable « capital », finalité ultime de nos existences, de nos cultures et de nos arts ?
Passer de l’avidité à la conscience, de la culpabilité à la responsabilité, de l’intolérable à la tolérance. Des attitudes qui ne s’acquièrent pas à coup de volontarisme –jeu souvent dangereux- mais par l’expérience vivifiante de ces moments de plénitude que nous dispense généreusement la vie.
« L’art a cette faculté de nous remettre au contact de notre intériorité » disait la chanteuse Lhasa, quand Wolinski défendait que « l’humour est le plus court chemin d’un homme à un autre»…
Nous aurons encore de belles occasions tout au long de cette nouvelle saison de vivre des rendez-vous à la hauteur de ces enjeux.
A très bientôt !
Hervé Monnerais
Čao Laru : Ils sont sept musiciens : violon, violoncelle, cavaquinho, accordéon, saxophone, contrebasse et percussions. Depuis un an et demi, ils ont donné plus de 250 concerts en France, Europe de l’Est, Brésil, Argentine et Mexique, dans des centres culturels, des théâtres, des festivals, des cafés-concerts, chez l’habitant, dans la rue, lors d’ateliers …Une vidéaste brésilienne les a suivis pendant leur tournée de sept mois et de 25 000 kilomètres au Brésil et en Argentine, ce qui a donné lieu à la réalisation d’un documentaire d’une heure, qui nous sera présenté lors de cette journée festive.