TROIS SÉANCES : Vendredi 20 oct scolaires 9h30 et 14h ( pour tous renseignements, prenez contact avec la Grange-Théâtre) Dimanche 22 oct à 15h30 tout public Mercredi 25 oct centres de loisirs et familles 15h30 (Tarif de groupe à partir de 10 enfants, gratuit pour les accompagnateurs, merci de prendre contact )
« OMA la « trop » merveilleuse histoire de Cendrillon » : Cendrillon, avant de devenir la gagnante d’un prestigieux bal, est une petite gitane employée de maison sur la Côte d’Azur. Elle danse pieds nus dans la cendre. Sous le regard bienveillant de la Madrina guérisseuse et voyante, elle brave sa condition, chaussures de flamenco aux pieds.
Avec une Cendrillon gitane et une marraine juive marocaine, élevée dans une communauté gitane, nous abordons les thématiques telles l’esclavagisme moderne, la migration et la discrimination et par là même, les questions bien présentes de pluralisme, féminisme et fraternité. L’occasion pour nous d’évoquer notre propre parcours, notre relation au flamenco et ses différentes expressions sous un angle nouveau, percutant, engagé et comique.
Presse « En mêlant théâtre, danse et chant, les deux artistes, non dénuées d’humour, livrent une histoire autant poétique que brutale. Et en transposant le conte dans le contexte politique, économique et social d’aujourd’hui, elles placent le public en position de témoin d’une réalité affligeante. Mais pas sans espoir, bien au contraire. Les discours racistes et décomplexés se multiplient, et la communauté gitane reste la cible de préjugés symboliques de l’ignorance et de la peur des différences. L’esclavagisme moderne existe bel et bien, et touche particulièrement les femmes, notamment les femmes étrangères et les femmes de couleur. OMA interroge alors nos représentations mais aussi nos solutions à travers les libertés fondamentales, celles du choix et du libre arbitre. »
Création et interprétation : Véronique Bouvet (Cendrillon) et Cécile Apsâra (la conteuse et la Madrina) Regard extérieur : Guillaume Doucet Aide à la mise en scène : Rozenn Trégoat Texte : Véronique Bouvet et Cécile Apsâra, Grimm (extrait ’les lentilles ») Création lumière : Sébastien Lucas Décors : Véronique Bouvet, Rozenn Trégoat et Cécile Apsâra Costumes : Cécile Apsâra Confection robe Cendrillon : Flamme&co et La boite à Couture Mixage bande son : Anne-Laure François
Deux journées festives de spectacles pour les 10 ans de la Grange-Théâtre et la présentation de la nouvelle saison culturelle 2017/2018
Programme:
>> Samedi 30 Septembre 17h : « Les 10 ans » vidéoprojection suivie de la présentation de la nouvelle saison 18h30 : apéro-festif offert 19h 30 : Pique-nique tiré du sac. Boissons et petite restauration aussi sur place. 21h : Concert exceptionnel : Lou Casa chante Barbara. Spectacle offert aux abonnés à l’une des formules du Panier-Abonnement 2017/2018, sinon 12 / 9€.
Dimanche 1er octobre 12h : apéro-festif offert avec « Les échappés du bal » 13h : Pique-nique tiré du sac 14h : « Les 10 ans » vidéoprojection suivie de la présentation de la nouvelle saison 16h : Spectacle « Germaine et Germaine »
Ils ont fait irruption début 2016 dans le paysage musical des reprises de Barbara en imposant un style à eux, qui renouvelle l’hommage avec une véritable inspiration. Entre rock et jazz, le trio chant-piano-basse navigue des chansons connues aux mélodies rares.
Issus d’un collectif à géométrie variable, les frères Casa, Marc au chant et Fred au piano, accompagnés de Julien Aeillon, ont commencé de reprendre Barbara à l’occasion des quinze ans de sa mort, en 2012. Ils ont ensuite pris presque quatre ans pour maturer leur court album À ce jour, unanimement salué par la critique. « La voix de Marc Casa est addition de frissons. Il ne clone pas Barbara, ne la fait pas sienne même si parfois il y a étrange et troublant mimétisme. Il happe ses mots légers comme une dentelle ciselée de grave. Les choie, les susurre, les chuchote, les distille. Les vers semblent ne pas toucher terre, ne pas en avoir le temps. Le propos est contenu qui va et vient, qui se presse au rythme des notes », écrit Michel Kemper. Quant aux arrangements, ils ne déméritent pas, et font preuve d’une belle inventivité dans l’épure.
Ils seront à la Philharmonie de Paris pour un concert le 15 oct 2017
Spectateurs de toutes générations et critiques saluent vivement les partis pris d’interprétation et d’arrangements originaux de Lou Casa ainsi que son intensité associés à quelques textes et musiques extraordinaires (et souvent peu connus) de ce répertoire. «Enfin !» – Télérama. «Une très belle vision de Barbara» – France Musique. «Une lecture étonnante, poignante et incroyablement juste» – La Revue du Spectacle.
TARIF CONCERT LOU CASA : 12/9 €. GRATUIT enfants -12 ans. OFFERT aux abonnés à l’une des formules du Panier- culturel de la saison 2017/2018 !
« Les échappés du bal »
Première : Un curieux groupe de personnes vivant ensemble dans une petite caravane. Ils semblent déterminés à créer quelque chose d’unique. Petit à petit, le public se voit devenir témoin de cette création collective, et aura sûrement sa part de responsabilité dans l’échec ou la réussite du projet, c’est à dire le jour J, lors de la Première… ! GRATUIT
16h : Spectacle « Germaine et Germaine »
Germaine et Germaine, duo gestuel et clownesque pour deux mamies et leur banc. Facétieuses et déjantées, ces deux-là nous entraînent dans leur monde burlesque pour finalement nous rappeler que du haut de nos solitudes, il est bon de nous rencontrer, de rire et de partager ! GRATUIT
Lionel Giardina a joué à Paris quelques années dans différentes formations musicales (dernièrement Two The West). Mais c’est une relocalisation géographique qui semble récemment lui ouvrir de nouveaux horizons artistiques. Sous le nom de Lion Says, le prolixe song writer sort un premier album solo qui propose une folk subtile et inspirée. Authentique retour aux sources ou OVNI frenchy ?
La force de New Folk à la première écoute est liée à la capacité d’attirer l’auditeur en territoire musical familier : on pense au néo folk luxuriant des Fleet Foxes ou à Midlake. Convoquer les arpèges mélancoliques de Nick Drake et la pop majestueuse des Girls In Hawaii. L’ombre de Dylan plane également sur ce disque. Mais le brio de Lion Says réside ailleurs : ouvrir les perspectives, ne pas se laisser brider par la codification des genres. Un passionnant équilibre s’impose sur ce disque : harmonies vocales, violons, guitares tissent une palette sonore variée, tantôt lumineuse, tantôt sombre.
Côté textes, les anglicistes attraperont quelques clins d’œil, de Wilfred Owen à Jim Harrison, en passant par J.D. Salinger. Les références littéraires semblent traverser l’œuvre naturellement et de façon parfaitement assumée. Certaines chansons accouchent de personnages qui portent les questions existentielles de la méta fiction, jouent les losers cosmiques. Chaque trame est tissée avec soin et semble ouverte à cent interprétations. Car l’art de Lion Says consiste aussi à ne pas nous donner toutes les cartes de son domaine. Pour mieux nous y perdre?
Lion Says attire l’auditeur dans un passionnant labyrinthe sonore sans lasser ou évitant l’écueil de l’exercice de style. C’est là que réside l’indéniable réussite de ce premier opus. Loin des auteurs-compositeurs copistes proposant des redites scolaires, Lion Says parvient à s’affranchir du carcan des influences afin de proposer un univers musical singulier, riche et personnel.
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Une soirée conviviale, deux pièces, un repas entre les deux !
à 19h: « Paraitre dix » Par la Compagnie Lierre de Lune à 20h: Repas à 21h: « Contes de la mort qui tue » Avec Fabienne Morel, Irène Lecoq, Roland Pinsard
à 19h « Paraitre dix »
Intolérablement fou, le monde, parfois. Ça lutte à l’extérieur, ça lutte à l’intérieur. Quoi faire, comment agir ? Nier, s’indifférer, enrager, se lever, apparaître, mener la révolte ? Un individu, homme, femme, peu importe. Après l’intolérable il s’exile. Fuyant ce qu’il ne veut pas. Il cherche une place. Quelque part. Ailleurs. Il essaie. Doute. Devient sans pensée. Tente de comprendre. Voire de s’imposer. Lutte. Agit. Entre l’être invisible et le héro, c’est sûr, il va douter, se questionner, enrager de son impuissance, traverser la colère et l’effondrement. Solo créé et interprété par Fannie Richard. Musique : Michel Fructus. Régie spectacle : François Chenot.
21h : « Contes de la mort qui tue »:
La conteuse revisite avec humour la légende de Konomor, le Barbe bleue breton, accompagnée par un violon et une clarinette, parfois déroutants, toujours truculents. Le trio s’aventure aussi à la rencontre d’autres figures macabres, entre frissons et soupirs… de plaisir ! Un parcours d’équilibriste dans une Bretagne entre tragique et humour, quotidien et étrangeté, Moyen-âge et XXIe siècle. Fabienne Morel : conte, chant. Irène Lecoq : violon. Roland Pinsard : clarinette. Tout public à partir de 9/10 ans
Chers amis spectateurs, Vivants… La violence, la laideur et la bêtise de plus en plus présentes dans notre actualité proche et lointaine, nous deviennent décidément trop familières… Mais qui peut raisonnablement lutter contre ce monde duel, étriqué et misérable ? Existe-t-il quelque chose qui puisse apaiser ce monde malade, malade de ne pas brûler de la seule énergie qui vaille, durable, renouvelable, infinie… Celle qui circule pourtant partout, dans la nature et en tout être humain : la vie. L’art a cette fonction, de la dire, de la manifester, de la convoquer sous toutes ses formes. Cette année, c’est plus de 60 artistes, en solo, ou en groupe, qui se succéderont dans ce but, nous faire goûter à cette seule réalité capable de nous bouleverser et de bouleverser l’ensemble de nos structures : l’être humain véritablement vivant. Flore, qui a réalisé la couverture de ce calendrier 2016/2017 (et cette « relecture » du petit Prince), a été bien inspirée de calligraphier tous les noms des artistes programmés au cours de cette nouvelle saison culturelle, et sur la photo d’un ciel de Thourie, prise au début du printemps. Le spectacle d’un arc-en-ciel est toujours saisissant. Instant féerique, où la raison baisse la garde quelques minutes devant cette alchimie. Instant de grâce, parenthèse, suspension, silence… Peut-être ce qu’est la pause d’une soirée dans nos existences trépidantes. Ne vous en privez pas, soyez les bienvenus à la Grange-Théâtre !…
Solidaires… Je souhaitais m’arrêter là… Mais je ne peux éviter, en ce début de saison, de vous lancer un petit appel : abonnez- vous à nos paniers culturels ! Notre idée de solidarité copiée sur celle des AMAP paysannes, originale dans le monde de la culture en 2008, ne fait plus recette aujourd’hui. Sans qu’on ne sache vraiment pourquoi. Il paraît que c’est partout pareil, même chez nos grands frères de Rennes, TNB etc… les abonnements chutent. Or nous avons besoin de cet engagement en début de saison. Sinon c’est difficile, la saison est longue, il faut tenir la distance… Même si nous avons à chaque fois fait le plein cette année. Mais souvent le gros des réservations arrive bien tard, la dernière semaine, voire le samedi matin pour le samedi soir…
Acteurs… Si vous avez à coeur de partager ces moments artistiques que nous chérissons tant à la Grange-Théâtre, merci de nous donner un coup de main. Plusieurs façons. Par l’abonnement au panier culturel, cette saison nous incitons fortement à l’abonnement par une nouvelle donne des tarifs. Par la diffusion de ce programme qui permet aux personnes d’avoir l’information des dates bien en amont et donc d’avoir ainsi la possibilité de s’abonner. Enfin si vous avez un peu de temps, d’énergie, devenez nos Spectateurs-Relais de votre village, de votre quartier, de votre association, de votre promotion d’école ou d’université, de votre entreprise. Un grand merci à tous de votre fidélité…renouvelée ! Hervé Monnerais
Découvrir et s’initier à l’art de la fresque en s’appuyant sur l’expérience des grands fresquistes de la Renaissance italienne )Giotto, Masaccio, Fra Angelico, Michel-Ange…). Maîtriser, à l’issue du stage, les techniques nécessaires à la mise en oeuvre d’une fresque sur un mur.
Public.
Tout public : Plasticien, décorateur, artisan, amateur passionné ou simplement attiré par la fresque et les techniques artisanales ( la formation n’exige ni la maîtrise du dessin, ni des talents confirmés en peinture.
Contenu.
Parcourir et expérimenter, à travers le choix d’une oeuvre à interpréter, le processus complet de la réalisation d’une fresque. Choix de l’oeuvre. Apprentissage de la technique du report. Mise à l’échelle au fusain. Fabrication de la synopia. Préparation et pose des enduits. Peindre «affresco».
Moyens pédagogiques.
Théorie. Connaissance des matériaux (chaux, sable, pigments..) et des procédés. Documentation : les peintures romaines, romanes, les peintres de la Renaissance italienne. Diffusion audiovisuelle d’exemples actuels de réalisations de fresques : création et mise en oeuvre.
Pratique.
Réalisations sur petits formats (brique 25cm x 38cm). Réalisation d’une fresque , sur un support adapté et transportable. Matériel fourni : matière mise en oeuvre (chaux grasse, sable fin, pigments de terres et oxydes…), supports briques, support cadre, outils de maçonnerie, de dessin et de peinture.
La formation est donnée par Flore ANGELE Plasticienne, fresquiste, dîplomée des Arts Appliqués et de l’école Vainnela à Prato – Italie.
Horaires.
9h – 12h /13h – 18h. Prévoir une tenue de chantier, des gants en plastique, de la documentation picturale (facultatif). Penser à son repas de midi.
Apprendre à modeler la terre jusqu’à fabrication des pièces de votre choix, technique de la masse ou du colombin et polissage. L’année se termine par un week-end pour construire le four primitif et cuire les pièces. Atelier adulte.
Les vendredis de 18h à 21h: vendredi 31 janvier vendredi 28 février vendredi 28 mars vendredi 18 avril WE construction du four et cuisson : Samedi 31 mai et 1er Juin
4 modules de 3h de janvier à mai + WE construction four : 100 €
Dimanche 19 oct – 15 h Mon cœur court après vous Geneviève Robin & Guy Abgrall
À travers cette lecture-spectacle, ce sont 50 ans de correspondance amoureuse entre Victor Hugo et Juliette Drouet. Un moyen de (re)découvrir cet écrivain célèbre dans son intimité grâce à la lecture dʼextraits de lettres et de billets doux envoyés à sa chère Juliette qui fût à ses côtés dans les bons et mauvais moments de sa vie, comme muse, amante mais aussi partenaire de travail et dʼexil. Les textes sont vifs et la lecture permet de mieux comprendre le contexte de lʼépoque.
→ Séances scolaires possibles pour collèges et lycées. Nous contacter.
Tout Public dès 12 ans • 1 htarifs : 10 € / 7 €Découvrez leur site internet